VISITE SURPRISE

Je m'ennuyais, je m'ennuyais toute seule, et à vrai dire j'étais ce jour là d'humeur joyeuse, mutine même, je ne dirais pas perverse, mais j'ai eu une idée qui m'a bien plu, depuis le temps que je fantasmais sur cette possibilité.. Et lui aussi, d'ailleurs, je lui avais raconté par mail ce fantasme que j'avais, et lorsqu'il l'a lu, il a eu une réaction disons, visible s'il n'était pas assis derrière son bureau..

J'ai décidé ce jour là de mettre mon idée a éxécution, réellement. Je n'étais jamais allée sur son lieu de travail, mais ça ne devait pas être si difficile de le trouver et de se faire passer pour une collègue d'une entreprise affiliée, ayant besoin de ses conseils.

Aussi je me vêtis d'une façon stricte tout en n'oubliant pas les dessous qui devraient avoir l'effet escompté. Le tout etait d'espérer que son bureau serait suffisamment isolé des regards indiscrets...

Je réussis à me faire introduire dans son service, et m'étant fait indiquer son bureau, j'entrai et refermai la porte.

Je me trouvai derrière son dos, n'ayant fait aucun bruit, et j'avais veillé à ce que personne ne me voie entrer. Il etait concentré sur son ordinateur.Je m'avançai et me collai à son siège, le faisant bouger un peu. Il fit un bond de surprise, un deuxième en me reconnaissant. Puis il me détailla de la tête au pieds, n'ayant même pas l'idée de me demander comment j'étais arrivée là, il semblait que j'étais l'apparition fantasmée de moi-même.

Il eut tôt fait de passer ses mains sur mes bas et de remonter sous ma jupe tout en m'attirant vers lui. Je me penchai et l'embrassai avec fougue, et lui, malgré la légère angoisse que quelqu'un pourrait arriver, il releva ma jupe d'une main et passa sa main sur mes fesses, entoura mes hanches serrées dans un corset lacé, et s'amusa à le délacer.

J'étais presque nue, du haut du moins, ce qui me donna une idée ; je me glissai sous le bureau, et lui demandai de faire mine de travailler. J'étais bien cachée, et personne n'aurait pu se douter de rien.

 

Soudain la porte se rouvrit, et un homme, un collègue je suppose, passa la tête et demanda à mon amant de venir voir quelque chose, dans son bureau. J'étais bien coincée, mais amusée par le fait qu'il devait avoir pris un document afin de cacher la bosse sous son pantalon.. J'attendis un moment ainsi, cachée sous le bureau, pratiquement déshabillée, son retour. Heureusement qu'il faisait chaud, j'avais juste ma jupe entortillée autour de ma taille, mon porte jarretelles mes bas et mes sandales.

Enfin il revint.

Dès qu'il reprit place sur sa chaise, je me mis contre lui, entre ses jambes, et je commençai à frotter son pantalon, sentant son érection. Je défis la boucle de sa ceinture, tirai le zip de sa braguette, et penchai la tête par dessus le pantalon ouvert pour glisser une main et ma langue sur le haut du slip, où pointait sa queue, déja mouillée. Puis je baissai le slip le plus possible, prenant ses couilles dans ma main, attrappant la queue ainsi dégagée, et je léchai son gland trempé d'un liquide crémeux et salé, lui arrachant involontairement un gémissement étouffé.
Il me repoussa un instant et descendit son pantalon et son slip, ainsi je pus le sucer plus à mon aise. Je fis monter et descendre ma langue le long de sa queue, le regardant par moments, et lui, voulant voir son sexe dans ma bouche, retenait mes cheveux d'une main, s'étant un peu écarté de son bureau. Je l'enfonçai d'un coup dans ma bouche, le sentant devenir encore plus dur, sentant ses vaisseaux palpiter, gonfler, ma bouche etait emplie de son sexe, et ma langue, tout au fond, titillait le bout de son gland. Je le sentais pulser dans ma bouche, et soudain il me saisit par les bras, et oubliant tout risque, me fis remonter debout entre ses jambes. Il débarassa d'un coup de coude tout ce qui pouvait gêner au bord du bureau et m'y assit.

Il m'écarta les jambes largement, et se rassit sur sa chaise, pratiquement à la bonne hauteur pour me lêcher la chatte, en passant les doigts sous mon string pour y sentir la moiteur, j'étais trempée, il entra deux autres doigts en moi pendant qu'il me léchait le clitoris, ardemment, de toutes ses forces, je devais me taire, moi qui ai l'habitude de hurler mon plaisir, et je l'aidai en enlevant ce string gênant. J'écartai moi-même les lèvres de ma chatte pour qu'il y ait accès plus facilement. Je jouis au moins deux fois, me mordant les lêvres, mouillant le bord de son bureau. Il me retourna, et me fit me pencher en avant, fesses offertes.

 

Il n'attendit pas longtemps pour se remettre debout, bandant tres fort, et je n'attendais qu'une chose, c'est qu'il me prenne, fort et longtemps, même si ce n'était pas le lieu, mais le monde extérieur n'existait plus.

Je me laissai malaxer les fesses, les sentant s'ouvrir sous la pression de sa queue qu'il faisait aller et venir le long de ma raie, et qu'il plaça ensuite sous ma chatte, afin que je la sente bien, et qu'elle soit toute trempée de ma mouille.

Il la fit aller et venir deux ou trois fois entre mes jambes, puis m'écartant les cuisses, entra en moi d'un grand coup.

Cette fois ci je gémis, et il plaqua la main sur ma bouche.

Puis il me tint aux hanches et me donna de grands coups de va et vient en moi, dans ma chatte bouillante.

Mais je savais qu'il ne jouirait pas à l'intérieur.

Il me fis signe de m'agenouiller devant lui.

Il se branla quelques instants devant moi , et je gardai la bouche ouverte, le lechant au bout du gland, l'enfournant et le pompant comme il aimait, mais il se retenait un maximum.

Il posa la main sur ma tête, pour la reculer, pour que juste mes lêvres touchent le bout de sa queue.

Et il se mit à jouir, m'aspergeant de sperme, à grands jets, sur mon visage, ma bouche, j'en avalai car j'aimais son goût, mais il y en avait tellement qu'il aspergea mes cheveux, mes seins, et mes bras.

Il retomba assis, épuisé.

 

je dus me pencher sous le bureau pour chercher mes vêtements, il renfila et reboucla son jean, je me rhabillai, je rajustai ma coiffure, essuyant au passage les traces de sperme qui se voyaient, et je ressortis de son bureau, satisfaite, épuisée, épanouie, un peu éperdue, je me demandai seulement en partant s'il allait devoir laisser sa porte ouverte pour chasser l'odeur de l'amour qui flottait..

 

Je lui avais fait une surprise, j'espère qu'il a apprécié.