MARIELLE

Hier, mon amie Marielle m'a appelée pour que je vienne manger chez elle. Ca nous arrive rarement, toujours à l'étranger avec son mari, lorsqu'elle revient en france nous n'avons pas souvent le temps de prendre plus qu'un café. Mais hier, je l'ai trouvée changée, je dirais "épanouie". Il m'est venu à l'idée qu'elle avait un amant. Cela ne m'aurait pas étonnée, elle passe son temps à récriminer contre son "vieux mari".. Vieux mais riche, bien sur, madame a ce qu'il faut, maison en suisse, maison en france, voyages.. En plein hiver elle etait toute bronzée. Je le lui ai fait remarquer, et elle m'a demandé : "Tu veux voir"? Et elle laissa glisser le haut de sa chemise et la bretelle de son soutien-gorge.. tout naturellement, semblait-il, pendant qu'elle rajustait son escarpin.

 

Bientôt, sous mes yeux ébahis, elle s'assit pres de moi et commença a me raconter combien elle se sentait seule, son mari la laissant souvant, et malgré tous les bijoux et les cadeaux dont il la couvrait, cela ne remplaçait pas ni l'amour ni le sexe. Non elle n'avait pas d'amant. Elle changea de sujet, m'offrit un café, et nous bavardions , elle dans son fauteuil en face de moi, détendue,à moitié déshabillée, faisant balancer un de ses escarpins au bout de son orteil.Soudain une idée lui traversa l'esprit: "Mais, tu fais la même taille que moi! Viens dans ma chambre, je suis sure que j'ai des tas de vêtements qui t'iraient a la perfection.ça t'amuserait d'en essayer? Mes armoires débordent, en plus, ça me soulagerait, je ne fais qu'acheter, acheter, je n'ai plus de place pour mes robes, mes chaussures, ma lingerie, viens donc!"

Elle m'enmena dans sa chambre, luxueuse, où trônait un immense lit blanc parsemé de coussins, et entouré de placards dont les portes etaient recouvertes de miroirs. Elle ouvrit a la file plusieurs portes, sortit plusieurs robes, ensembles, et me demanda si je voulais essayer. "Ne te gêne pas pour moi" me dit-elle. Je déboutonnai mon chemisier, le posai soigneusement sur le bord d'une chaise. Elle s'approcha de moi pour m'aider à degrafer ma jupe dont la fermeture coinçait. La jupe tomba par terre, j'étais en sous-vêtements, bas et escarpins. A ma grande surprise elle passa dans mon dos et détacha mon soutien-gorge, d'une main, l'autre passant dejà devant moi et prenant à pleine paume un de mes seins.Mon soutien-gorge rejoignit ma jupe sur la moquette, et Marielle m'attira sur le lit ou elle me prit doucement dans ses bras. "c'est la première fois avec une femme?" me demanda t'elle.Elle vit a ma réserve et a mon regard que c'était le cas. "Ne t'en fais pas".. Elle hasarda un bisou au coin de mes lèvres, j'y répondis peu a peu. Elle continuait a me caresser les seins, a me masser la pointe des têtons, et je me laissai faire, sentant moi aussi le désir qui la brûlait, m'envahir a mon tour.

 

"je voudrais faire l'amour avec toi" me dit-elle.. Je n'eus pas le loisir de répondre, elle était déja en train de caresser mes seins, assise derrière moi, moi appuyée contre elle. Elle descendit la main pour m'enlever mon slip, et le jeta par terre. J'avais mis mes mains contre ma chatte, de honte de sentir que je mouillais de désir. Ses cuisses largement écartées enserraient mon bassin, et sa main écarta les miennes. Deux de ses doigts écartèrent ma chatte, l'autre main lâcha mon sein et vint caresser mon clitoris, et plonger dans ma moiteur intime.
Je me laissai branler et je jouis une première fois. Puis je me mis a sucer les seins magnifiques de Marielle, emportée par un désir de nouveau revenu, et elle gémit, en me suppliant de sucer plus fort en mordillant. Ce que je fis. Je glissai ensuite une main sous son string qui laissait voir par son entrebaillement un sexe totalement épilé, et je m'aventurai en terrain inconnu.. la femme. Elle aussi etait trempée, et je trouvai son clitoris que je massai et fis vibrer, au rythme de ses halètements. Elle étouffa un cri de jouissance contre mon cou.

Nous continuâmes a nous caresser l'une l'autre, elle, me montrant les différentes façons de lui donner du plaisir, moi me laissant faire.. et apprenant.

Elle s'allongea pres de moi, tête bêche, et se mit a me lêcher la chatte, a grands coups de langue, alternée de petits coups, forts puis moins forts. J'allis jouir quand elle sortit d'un tiroir un godemiché qu'elle réchauffa contre elle avant de le sucer pour le mouiller un peu, et l'approcha de mon sexe. Je lui fis comprendre que je n'avais jamais utilisé ce genre d'accessoire..Il etait de plus de grande taille, mais doux au toucher. Elle le fit toucher mon clitoris pour me montrer sa douceur, puis l'avança sur les bords de ma chatte, qu'elle écartait de son autre main. "Détends-toi", me dit-elle.. J'étais trop prise par mon désir qui montait pour ne pas me laisser faire, et elle enfonça peu a peu le god dans ma chatte, puis mon vagin, et me demanda si c'était bon, si je le sentais. Je le sentais au fond. Elle se mit a exécuter des mouvements de va-et vient avec l'instrument, tout en me lêchant le clitoris, et je me mis a jouir comme une folle.

A peine remise, je lui rendis la pareille, dans la position qu'elle demandait, c'est a dire debout.

Je lui suçai les seins, la bouche, et lui caressai la chatte avant de lui enfoncer le god , mais elle me demanda bientot d'arreter quelques instants pour ne pas jouir tout de suite, et nous changeâmes de position.

A quatre pattes, je pouvais voir sa chatte mouillée, et me déplaçant derriere elle, je la lui écartai pour lui réenfoncer le jouet érotique. A sa demande, je le lui enfonçai d'un coup, et branchai la fonction "vibration".. tout en continuant les va-et vient, comme si j'étais un homme muni d'une queue, amovible toutefois. Ses seins ballottaient sous les coups de boutoir, et je retirai de temps en temps le gode afin de la faire attendre. Il etait trempé de mouille. Je le lui réenfonçai, tout en lui branlant le clitoris, et elle hurla de plaisir, et s'effondra sur les coussins, quasi endormie, le plaisir secouant encore son bassin par vagues.

Je la vis s'endormir, me rhabillai, laissai l'accessoire pres d'elle, fleurant nos deux odeurs intimes, et lui écris un mot que je déposai pres d'elle: "C'était une découverte. On s'est donné beaucoup de plaisir. On recommencera. Peut-être"

Et je rentrai chez moi