Lingerie

Mon amant aime la lingerie sexy.. Je n'en portais jamais, avant de le connaitre. J'achetais mes sous-vêtements un peu partout, dans les grandes surfaces etc.. et un jour il m'a offert mon premier ensemble vraiment "sexy"... acheté via internet. C'est fou comme certains hommes n'oseraient pas rentrer dans une boutique de lingerie féminine! Pourtant, regardez, ça se fait, dans le film "Monique " d'Albert Dupontel, on le voit fréquenter assidûment une boutique bon chic bon genre, où il ose demander des sous vêtemements tres affriolants pour sa "poupée moulée"..

Le magasin où j'ai mes habitudes, je l'ai trouvé par hasard dans une ville pres de chez moi, j'étais accompagnée de Marielle, et moi je voulais, pour épater mon amant, acheter des "slips fendus".. La boutique etait tres "chic", bois blond, vitrine tres chic, mais un petit coin tout de même avec des petites choses "coquines" comme dit une des vendeuses.

La cinquantaines toutes les deux, pas bégueules pour un sou malgré leur style "bourgeois" mais lorsque j'ai osé demander, tout bas, poussée par ma copine, elles ont ouvert des tiroirs de leurs commodes en pin, et là, des trésors..

Je décidai, un jour où on irait se ballader en ville, de tendre un guet-appens à mon amant.. J'avais repéré une boutique, à L....; du même style, mais beaucoup plus grande, j'y avais déja fait l'acquisition d'une guêpière-porte jarretelles et du string assorti, le tout en noir. Les vendeuses étaient discrètes, les cabines d'essayages spacieuses, munies d'une glace (ordinairement il faudrait sortir afin de se voir, ce qui n'est pas top lorsqu'on essaie de la lingerie..), de patères, d'un siège confortable, et de rideaux qui n'étaient pas du genre a s'entr'ouvrir, pas d'économie de tissu, donc, j'avais été tranquille pour faire mes essayages.
J'orientai la ballade dans les rues commerçantes jusqu'à cette boutique de lingerie, où je m'arretai devant la vitrine, qui etait vraiment très bien mise en valeur. Pas mal de modèles de luxe, de toutes sortes, et quelques dessous dits "affriolants". Mon compagnon jetait aussi un oeil, je le voyais bien, mais sans trop le montrer. Soudain je l'attrappai par la main et je poussai la porte du magasin, en le tirant derriere moi. Sans lui laisser le temps de réagir d'aucune façon que ce soit, et sans le lâcher, je me mis en quête d'une vendeuse afin de lui demander un ensemble porte-jarretelles, je donnai ma taille, je n'étais pas fixée ni sur un modèle ni sur un coloris. La vendeuse se retourna, tira a elle deux grands tiroirs où les parures etaient rangées hors de leur emballage, mais séparées de papier de soie, et elle se mit d'abord à sortir des soutien-gorge, de toutes couleurs, de toutes formes. Là, je pus lâcher la main de mon amant, il etait scotché. Je commençai a faire mon choix, oui, ça c'est bien, oui les balconnets, pas mal, non pas de noir-avec-dentelle-rouge ça fait mauvais genre, ça oui, heu ça aussi, pas mal, non pas de couleurs trop fluo, et y-a-t'il les porte-jarretelles assortI.
Oui me dit elle, en sortant du deuxième tiroir les porte jarretelles qui allaient avec les trois ensembles que j'avais sélectionnés. Elle les étala, l'un apres l'autre, près de chaque soutien-gorge. "Et pour les slips, les strings?" Elle alla chercher un troisième tiroir d'où elle sorti des petites merveilles, soit string, soit culotte, soit "boxer-string", etc.. la dentelle, les broderies s'accumulaient sur la grande table en bois clair. "Je peux essayer?", demandai-je. "Oui bien sur, mais vous faut-il des bas pour voir ce que donne chaque tenue entière?" me répondit-elle, et sans attendre, elle alla chercher une paire de bas noirs transparents à couture. "Vous portez des escarpins à talons, ça ira très bien pour vous rendre compte" Les bras chargés de ce que je choisis, elle m'indiqua le chemin pour aller dans une des cabines d'essayage. Je tirai la manche de mon amant pour qu'il vienne avec moi, et là, il ouvrit des yeux ronds, mais il obtempéra, et rentra dans la cabine avec moi, la vendeuse ayant visiblement l'habitude que les hommes donnent leur avis.. dans l'intimité. Elle referma le rideau et on l'entendi repartir s'occuper d'une autre cliente. Je commençai à me déshabiller pour pouvoir enfiler la lingerie que j'avais choisie. Soudain, une main m'appuya sur le dos, et me fit me pencher en avant, en me rattrappant à la chaise installée dans la cabine d'essayage. Avec mes talons j'étais juste à sa hauteur pour qu'il se colle contre moi et que je sente contre mes fesses, habillées, que dis-je déshabillées de mon string, son jean à l'endroit de son érection. J'en étais à enlever mes sous-vêtements que je portais en arrivant, et il baissa d'un coup les bretelles de mon soutien-gorge.
Il passa la main sous mes seins, les attrappa, tout en me mordillant l'épaule, et commença a masser mes mamelons, puis passa une de ses mains le long de mon dos, et caressa mes fesses, puis s'insinua sous mon string. Il s'accroupit derrière moi et, passa sa main le long de la raie de mes fesses, le entre mes jambes, massant ma chatte, et me disant tout bas "ton string est tout mouillé".. il commençait a l'être, en effet. Il continua a passer sa main de haut en bas sur le tissu du string, et je sentis mon clitoris pointer de plus en plus, sous la caresse plus précise. J'essayais de ne pas gémir, pour ne pas alerter la vendeuse. Il me dit "mais il est trop mouillé, il faut que tu l'enlèves, je veux te voir mouiller".

Il commença a me lêcher la chatte, et introduisit deux doigts a l'intérieur, et ensuite un deuxième doigt, et m'écarta encore plus pour m'aspirer le clitoris, le sucer, le titiller de la langue, le plus fort possible, m'arrachant des petits gémissements de plaisir. Je ne pouvais pas me retenir, il me faisait prendre feu alors que j'étais quasi en public. Les pointes de mes seins etaient toutes dures, et je me les touchai, pour augmenter ma jouissance. Il continua a me branler, enfonça un troisième doigt, très loin dans ma chatte, je ne pus retenir un petit cri de surprise..

La vendeuse s'approcha et demanda "Tout va bien, Madame?".. J'essayai de prendre une voix normale pour répondre que je m'étais simplement trompée dans les agrafes de mon soutien-gorge.

Il me commanda de commencer a essayer mes nouvelles tenues, en commençant par les bas. J'enfilai mes bas, un des porte-jarretelles, et les fixai. Pendant ce temps j'entendis sa braguette s'ouvrir, son jean tomber. J'enfilai un bustier assorti au porte-jarretelles, et il me dit, reste comme ça, accroche toi penchée sur la chaise. Il se pencha aussi, caressant mes jambes gainées de bas tendus, de bas en haut, de plus en plus haut. je n'avais mis ni string ni slip, de peur de tout tremper de mouille, tellement j'étais excitée. Il se releva, s'appuya contre moi, et je sentis sa queue dressée et dure contre mes fesses. Il la prit, et la mit entre mes jambes, le long de ma chatte, et me commanda de me branler avec son gland, sur mon clito. Ce que je fis, ajoutant mon propre suc a celui qui sourdait légerement du méat de son sexe. Avec la main qui ne s'appuyai pas sur la chaise, je passai entre mes jambes et j'utilisai sa queue pour me caresser, c'etait doux, chaud, je le la faisais faire des ronds autour de mon clito, passer desssus, le titiller, j'allais autour de mes petites levres de la chatte, je tournai avec le gland tout autour de ma chatte, je me sentais dégouliner. Je ne voulais pas jouir de suite, je voulais qu'il me prenne, qu'il me l'enfonce sauvagement, qu'il me défonce, qu'il me pilonne. Mon désir de lui était devenu sauvage.
La vendeuse, alertée par mes gémissements, ouvrit un coin du rideau et me demanda si ce que j'avais choisi m'allait. Je m'étais vite assise sur la chaise, d'un air calme, et la vendeuse ne pouvait pas voir mon compagnon qui s'était reculé dans le coin de la cabine d'essayage. J'avais peur que le coussin soit trempé. A mon avis il le serait. Mais je répondis calmement que ceci m'allait fort bien, que j'allais essayer la guêpière, maintenant. Elle referma le coin du rideau, soulagée. Je me relevai, essoufflée, ce petit incident ayant un peu calmé la montée de la jouissance, pour nous deux. J'en profitai pour enlever ce que j'avais mis, et essayer autre chose.
Je pris la guêpière en question, et je commençai à l'enfiler. Je demandai de l'aide a mon amant pour accrocher toutes les agrafes dans le dos, et j'accrochai mes bas a couture aux jarretelles. Je pris un malin plaisir à prendre mon temps, en lui mordillant l'oreille au passage, en tournant la tête pour attrapper sa bouche, lui enfoncer ma langue dedans, et ses mains descendirent lentement sur mes hanches serrées dans ce corset. Il me serra plus fort, contre lui, il me fit assoir dans le fauteuil, et entreprit de me lêcher de nouveau, pour rallumer mon désir, mouillé pour mouillé, le coussin etait foutu. Il me commanda d'écarter les jambes, et enfonça sa langue dans ma chatte, puis lorsque je lui attrappai les cheveux pour lui faire sentir que j'étais au bord de jouir, il me leva, me retourna, les mains de nouveau posées sur le rebord du fauteuil, et me fit écarter les jambes. Il lissa mes bas, les caressa, ouvrit ma chatte, passa sa main dedans et lêcha ses doigts. Puis il empoigna sa queue et me l'enfonça d'un grand coup, comme un coup de lance. Je le sentis pénétrer jusqu'au fond de moi, et je dus mordre le rebord du fauteuil pour ne pas hurler. Il sentit les contractions de mon vagin et ne put plus se retenir, et jouit a l'intérieur de moi. Cette fois, j'étais bien trempée. Vite, j'ai pris mon premier string, je me suis essuyée, rhabillée, lui aussi, et nous sommes sortis de la cabine d'essayage, rouges et ébouriffés, en tendant les tenues essayées à la vendeuse : "Je prends tout"!!