ATTRAPPEZ CETTE SUCCUBE

Evidemment, quand tu arrives après ces longs jours et surtout ces longues nuits sans se voir, il faut me réapprivoiser. Pas évident... On passe des jours, des nuits a réfréner son envie (ou pas) et quand j'ouvre la porte, que tu te précipites à l'intérieur, je me sauve. Pas facile d'attraper une succube!! Pourtant tu sais parfaitement comment faire : il suffit de mettre ta langue dans ma bouche et de, quelques instants après, de glisser tes doigts sous le string, entre mes jambes. Là ou c'est brûlant. Mais comme j'ai fui, il ya souvent un moment d'apprivoisement à passer.. Quand je viens chez toi, c'est moins difficile: dans ta voiture, quand tu viens me chercher à la gare, au bout de cinq minutes tu poses une main, tout en conduisant, sur mon genou, forcément découvert avec les tenues que je porte lorsque je descends du train, jupe courte, bas, porte-jarretelles et de préférence slip "ouvert".. tu caresses longuement ma jambe, puis tu remontes de plus en plus, et a un moment il faut même que tu te gares pour m'embrasser la bouche violemment, même si on est en pleine ville ou en pleine circulation..

En général tu redémarres assez vite et je dois avouer, que prisonnière de la voiture et de tes mains qui remontent encore plus haut, qui découvrent en remontant encore plus ma jupe, la fente du slip et tes doigts qui s'y insèrent, un gémissement nous échappe, a l'un comme à l'autre, et il n'est pas rare que j'aie atteint l'orgasme avant d'arriver chez toi. Il est même arrivé, que concentré a la fois sur la route devant et sur ce que faisaient tes dogts, soit un routier garé a notre hauteur; soit un motard hilare, nous ramènent, un peu penauds, à la réalité (le feu est passé au vert, et il ya des chances que ces gentlemen se soient rincé l'oeil!!)....
Pour m'attrapper une fois arrivée chez toi, je pense que c'est facile, j'ai déjà été apprivoisée par ta main, je sais que tu es déjà excité, il faut peu de temps - après que j'aie fait le tour de l'appartement comme un chat qui va en reconnaissance, voir ce qui a changé, ce qui est déplacé, quand j'ai marqué mon territoire, (mais non, pas comme les chats, je veux dire lorsque j'ai posé mes sacs, installé mes petites affaires de toilette et mes pochettes de lingerie, que j'ai pris un petit café..), les choses sérieuses peuvent commencer, en fait il me faut peu de temps pour me jeter sur toi, te coller, t'attrapper la bouche en me mettant sur la pointe des pieds, me frotter contre toi, jusqu'à ce que tu me portes sur ton bureau, ou que tu me prennes à la hussarde dans l'encoignure d'une porte.. Là je sais que je ne perds rien pour attendre, tu as beau me prendre, tu ne te laisseras pas aller, je sais que ça va etre d'abord a moi de jouir, c'est ce que tu préfères on dirait, te retenir pour que je ne m'échappe pas.. Je ne sais pas moi même en fait quel "traitement" je prefere avoir, soit etre prise brutalement, soit prendre mon plaisir doucement...
J'adore quand tu me lêches doucement, lentement, jusqu'à ce que je n'en puisse plus de hurler de gémir, de m'accrocher aux draps en les griffant, aux murs si je suis debout et que tu es entre mes jambes, la langue agile et ferme, les doigts m'ouvrant et me massant, attentif a mon plaisir, te souciant uniquement de ce que je ressens, de ce que je suis en train de prendre de la vie, du plaisir partagé, donné et reçu, je me laisse faire - en général- assez vite par toi.. si tu as réussi l'épreuve de m'attrapper avec ta langue et tes doigts...
Par contre, quand tu viens chez moi, attrappe moi, attrape-moi!!! Tu rentres et je suis occupée a préparer le repas, ou je t'attends, ou je suis encore "ailleurs", je dois re faire connaissance avec toi, avec ton corps, avec tes yeux, ta bouche, ta langue, et te faire rentrer chez moi et en même temps en moi, cela demande du temps et de la patience. Tu as fini par le comprendre.. Je te file entre les doigts, je glisse d'entre tes bras, je file à l'autre bout de la maison, mais il ya un moment ou tu réussis a m'approcher sans m'effaroucher. Tu le sens parce que je me laisse couler contre toi, sur le canapé, parce que tu peux me toucher sans que je m'enfuie, m'embrasser et ma langue répond à la tienne, me remonter la jupe et j'ouvre les jambes.

Là tu sais que tu peux commencer non seulement à me caresser sans que je me sauve, je suis de nouveau en confiance.. c'est que c'est méfiant, les succubes.. il faut que je te touche moi aussi pour te reconnaitre, reconnaitre ton corps, ton visage, les moindre recoins de ta bouche, de ton cou, sentir de la main la bosse de ton jean, si possible arriver a ouvrir ta braguette avant que tu ne m'aies renversée.. je ne gagne pas souvent à ce jeu-là..

C'est toi qui me harponnes, me soulèves, me touches, me goûtes, me donnes du plaisir a hurler, en me lechant d'abord, ou en me caressant jusqu'a ce que tu aies la main trempée.

   
 
Mais comme tu ne me lâches pas tant que je n'ai pas joui au moins trois fois, il faut que je me batte pour te donner moi aussi du plaisir, ce que je fais des que j'arrive a ôter ta ceinture, a défaire ta braguette, a envoyer valdinguer tout ce qui me gène, et la position en 69 est une des plus excitantes possibles, je te donne du plaisir, je te suce et te lèche, et toi tu me suces et me lèches. Il n'est pas rare qu'on jouisse ensemble. Ou presque, tu attends que ma jouissance se calme, et je peux te reprendre plus calmement, plus sereinement, plus attentivement, faisant courir ma langue sur ton gland puis sur toute la longueur de ta queue, jusqu'à ce que tu me soulèves car tu sens que tu es au bord de jouir.. pause calme pendant le changement de position..
Je sens que tu es près de jouir, je te lèche encore plus doucement puis plus fort, tu dégages mes cheveux pour mieux me voir faire, voir ma langue aller et venir, voir ta queue entrer et sortir de ma bouche, s'enfoncer, ressortir, et moi, rassasiée, j'ai tout mon temps pour te ralentir ou accélerer le rythme, et continuer a te pomper le mieux possible, comme tu aimes, tes gémissements se font plus forts, tu retires ma main, tu repousses ma tête, tu te branles au dessus de mon visage, ma bouche ouverte, et tu jouis sur moi, je suis trempée, c'est chaud, c'est bon, tu gémis fort, à la limite du grognement de bête sauvage, j'adore ça, et voilà, succube attrappée, matée et soumise a ton bon plaisir, tout ce que j'aime..