LE SULTAN ET LA PRISONNIERE

 

Voici une histoire qu'on m'a contée il ya un moment déjà, et qui n'a cessé d'alimenter mes fantasmes depuis des années. Il s'agit de l'histoire d'un jeune sultan d'un pays lointain, un homme beau et puissant, qui avait reçu en héritage de son père, non seulement son palais, ses terres, ses richesses, mais aussi son harem.

Le Sultan Faraz etait réputé pour être un homme cruel, sans pitié, et aimant les conquêtes, aussi bien en parlant de pays que de femmes. Aussi lorsqu'il revint avec ses compagnons apres un mois de batailles, il ramenait, en plus des trésors volés aux contrées soumises, également la fille d'un seigneur étranger, disait-on, car personne ne l'avait vue, enfermée dans une sorte de chariot fermé par des draperies.

Certains compagnons de voyage de Faraz avaient bien essayé de se glisser dans la litière de la jeune femme, mais ils l'avaient tous payé de leur vie , la demoiselle etant farouche, et personne ne savait si le Sultan lui-même avait pu l'approcher.

 

Lorsqu'ils arrivèrent pres du Palais, le Sultan prévint la Belle, comme il l'appelait, qu'à l'intérieur de ces portes elle lui devait obéissance en tous points, ainsi que cela avait été conclu lors des accords avec le père de la jeune fille.

Ils entrerent donc dans le Palais, et le Sultan ordonna a la Belle de descendre de sa litière, et de le suivre. Comme elle n'obéissait pas, il arracha la tenture qui fermait la litière et força la jeune prisonnière à sortir.

"Je dois vous présenter à tout le monde" lui dit-il. Et il l'entraina derriere lui, aidé d'un grand eunuque qui ôta les vêtements de la jeune fille. Affolée, elle tentait de retenir ses vetements contre elle, mais l'eunuque et le sultan furent plus rapides, attrappèrent la dague qui avait servi à occire ses agresseurs pendant le voyage, et ses voiles qui cachaient son corps et son visage.

Faraz prit le temps de détailler la princesse , de son visage à ses cheveux, à son corps nu, et eut l'air d'apprécier. Puis il la poussa vers une porte derriere laquelle on pouvait entendre qu'un repas etait servi, et qu'il yavait beaucoup de convives.

 

La belle entra, poussée par le Sultan, et le silence se fit. Elle regardait droit devant elle, mais ne pouvait s'empécher de voir qu'il yavait des dizaines et des dizaines de seigneurs et de dames, richement habillés, des tables couvertes de plats, de verres, de carafes, et tout au bout de la salle, près d'une cheminée immense où un feu brûlait, une femme d'âge mûr présidait le repas. Le sultan pris la parole: "Mère, voici ma plus belle prise, arrachée à notre plus grand ennemi. Belle pièce n'est ce pas? Ma première esclave d'amour, et je suis fier de l'avoir enlevée. ". "Exquise, vraiment", répondit la Reine, puis-je en juger ainsi que le chef du Protocole?' Et un homme de haute taille s'approcha de la Belle, toujours debout et nue en face de la reine, sentant tous les regards posés sur elle, dont celui du Sultan, trois pas derrière elle, l'eunuque, un peu plus loin, et l'homme déplaisant , le chef du protocole, qui s'approchait.

Il la regarda, souleva son menton et dégagea ses cheveux pour que toute l'assemblée puisse la voir, admirer son visage, ses seins, qu'il soupesa de sa main froide et dure, et pinça les mamelons pour les faire ressortir, ce qui fit grimacer de douleur la prisonniere. Le Sultan, qui s'était approché, lui jeta un coup d'oeil lui intimant de rester obéissante, c'est à dire soumise. A cet instant elle comprit, en le voyant dans sa tenue d'apparat, devant ses yeux brûlants de désir pour elle, qu'elle choisissait de lui etre soumise en tout, c'était son choix, c'était évident.

Laissez ses cheveux comme ils sont, dit le Sultan presque jalousement, alors que le Chef du Protocole les lui tirait en arrière pour que tous puissent admirer ses seins.. Puis l'homme la tourna sur elle même, afin de tâter ses fesses bombées, et posa une main sur son dos en l'appuyant, afin qu'elle se penche, et passa son autre main entre les jambes de la jeune fille. Celle-ci pleurait presque de honte, entendant les rires des convives.Seule la vue de Faraz, son Sultan, la rassurait. Ayant passé sa main froide sur sa vulve, enfoncé des doigts afin de voir comment elle était faite, l'ayant tâtée et presque goûtée; l'homme fit signe a la Reine que la prisonnière etait "saine" et digne de son fils. A ce moment, une esclave apporta un voile avec lequel elle couvrit la Belle.

La Reine prit alors la parole: "Selon la tradition, la nouvelle esclave doit faire preuve publiquement de ses capacités a satisfaire son Seigneur. Allez!" Et elle frappa dans ses mains. Faraz s'approcha de sa prisonnière, pour laquelle il éprouvait un désir intense, et lui chuchota: " N'ayez pas peur, c'est la tradition, toutes les femmes du harem sont passées par là depuis des générations"

"Le harem?"... elle n'eut pas le temps de penser plus longtemps a cet aspect de sa future vie dans ce palais, il lui fallait s'attacher le Sultan, et leur désir mutuel flagrant allait les aider, même s'il fallait faire certaines choses publiquement.. Bien sûr elle avait déja été courtisée, et de plus on lui avait appris comment satisfaire un homme, ce qui faisait partie de l'éducation de toute jeune fille de son pays. Faraz s'était mis à lui caresser les seins, sous le voile opaque qui la couvrait des pieds à la tête, formant comme une espèce de tente devant le feu de l'immense cheminée. Elle se frotta contre lui, approchant ses lèvres des siennes, quémandant un baiser, un peu de tendresse pour l'aider.. Il lui glissa la langue dans la bouche, la mordillant, et mit son visage dans son cou, et lui appuya les deux mains sur les épaules afin qu'elle s'accroupisse, car voila ce qu'on lui demandait, ensuite, ce serait leur affaire. Il fallait qu'elle prouve qu'elle pouvait faire jouir le Sultan avec sa bouche. Frottant son visage contre le pantalon en sorte de cuir de Faraz, elle descendit à la hauteur de son sexe qu'elle sentit enfler et qui etait douloureusement comprimé dans son vêtement.

Elle le dégrafa, le sexe se dressa, il etait dur. Elle le contempla, sa texture, sa rigidité, et leva les yeux vers l'homme. Prenant sa verge dans sa main, le sultan la frotta contre les lèvres de la Belle, qui ferma les yeux et et le prit dans sa bouche, goûtant sa grosseur, sa dureté. Il s'enfonçait dans sa gorge, pas trop, frottant son gland dans la bouche de la jeune femme, qui comprit le mouvement et le suça de bas en haut, doucement, tandit que l'homme la guidait. Le goût était presque délicieux, un peu salé, et apres quelques courtes minutes, le Sultant Faraz fit tomber d'un mouvement le voile qui les entourait, retira sa queue de la bouche de sa jeune prisonnière consentante, se recula de quelques centimètres, et au vu de tous les convives, il éjacula avec un long grognement, de longs jets de spermes tombèrent sur les seins lourds de la jeune fille.

Epuisé, le Sultan d'un geste demanda à la Reine sa mère la permission d'emmener sa nouvelle favorite. Il lui fallut patienter, car on emmena la demoiselle se faire préparer pour la nuit par les eunuques du harem.