SENS DESSUS DESSOUS

J'adore l'embrasser.

J'adore me coller contre lui quand il me regarde d'une certaine façon.

J'adore me frotter contre lui quand je le vois avec une expression qui veut dire "toi, je vais t'avoir", ou alors "toi, tu ne perds rien pour attendre". Habillés ou non, s'ensuivent quelquefois des moments intenses où on finir par rouler par terre, habillés ou non (enfin si au début on est habillés tous les deux, on ne tarde plus à l'être moins lorsque ces moments particuliers arrivent). J'appelle ça "jouer aux bêtes sauvages".. On se défie du regard, je me précipite sur sa bouche, il se recule un peu au dernier moment. J'en gronde presque, lorsque j'ai atteint sa bouche, j'essaie de mordiller ses lèvres. Déjà à ce moment là je suis trempée de désir, bouillante et bouillonnante. Je lui retire son jean, son T.Shirt, je me retrouve en sous-vêtements. Je me retire de lui lorsqu'il croit m'avoir attrappée, bloquée, sous lui, je rampe, je m'enfuis, et je reviens, m'écroulant sur lui, le plaquant par terre, le mordant à l'épaule. On se jauge du regard, qui sera le plus fort? Qui soumettra l'autre, qui fera craquer l'autre, qui jouira en dernier? C'est le jeu.

C'est un jeu que j'essaie de faire durer le plus longtemps possible, c'est très excitant de s'éloigner, de se rapprocher, de se sentir pleine de désir et d'allumer littéralement mon amant de cette façon-là. Je n'en mêne pas large, en même temps, car il a de la force et je sais que je dois mesurer mes "agaceries".. tout me sert, mes dents,ma langue, mes doigts, mes bas, frottés doucements le long de ses jambes, mes cheveux et ma bouche contre son slip (ne pas l'enlever, surtout!!) alors que je sens son érection le tendre au maximum, je peux même risquer un coup de langue en vitesse sur le bout du gland qui dépasse, et je m'esquive encore.
Il me retient d'un doigt par le porte-jarretelles, me plaque au sol, et m'écarte de force les jambes pour sentir du bout des doigts comme je suis mouillée.. Mais je ne me laisse pas encore faire. Je me remets à le mordre, à sucer sa bouche, tout en éloignant mon corps du sien, mais tout en l'invitant du regard à continuer à essayer de me toucher, de me prendre, je lui demande parfois de me prendre tout de suite, parfois, j'attends encore et c'est moi qui le touche, le lèche à travers son slip, colle ma bouche et souffle mon haleine chaude à travers le tissu pour que son érection soit à la limite du supportable pour lui.
Il finit par me renverser par terre, me coincer la tête entre ses jambes pour pouvoir m'écarter les miennes, je n'ai pas sa force, je ne peux pas résister. Il passe ses doigts sous mon string, et approche la tête pour admirer ma chatte toute trempée, y met les doigts, je ne vois rien, je sens mon clitoris tendu à l'extrême, et le soudain contact de sa langue me fait crier de plaisir. Il passe sa bouche, sa langue partout sur ma chatte, le long des lèvres, me masse le clitoris au rythme de mes soupirs, de plus en plus hauts, de plus en plus criés. Il enfonce un doigt, puis deux, sa langue s'active sur mon petit bouton tout dur.
Le bas de mon corps étant prisonnier de sa bouche et de ses mains, ses genoux à la hauteur de mes seins, je dégage mes mains et les lèves, son sexe prisonnier de son slip etant au dessus de mon visage, je glisse une main sous le tissu pour toucher sa queue, gonflée et dure. Par l'ouverture pratiquée, je la sors, et je dégage ses couilles hors du slip, m'aidant de mon autre main. J'amène sa queue vers ma bouche, relevant légèrement la tête et leche son gland trempé, je le suce, je passe ma langue de haut en bas, son sexe vibre, dur et brûlant. Mes mains sont occupées en même temps que ma bouche, l'une maintient la base de sa queue pour qu'elle reste dans l'axe de ma bouche ouverte, l'autre masse ses couilles, et l'espace entre elles et son sexe.

Pendant ce temps, il continue à me branler le clitoris, alternativement avec ses doigts et sa langue, et je sens mon vagin pris dans un va-et vient ferme..deux doigts de son autre main, j'imagine, mais je suis concentrée sur le plaisir que je lui donne, je le leche et le suce en resserrant les levres, en l'enfonçant au maximum dans ma gorge, le ressortant, massant la base de sa queue en va et vient doux et fermes, touchant ses couilles, je sens pulser son sexe de plus en plus fort.

Arrive le moment, où je me rends compte que je vais jouir, et lui aussi, au moment où je sens sa queue commencer à avoir des spasmes, je la ressors un peu, et il jouit à la fois dans ma bouche , sur mon visage, dans mon cou, et au même moment, je me mets à jouir, prise d'immenses soubresauts, mon clitoris amené jusqu'au paroxysme de sa tension me fait remonter une flêche de feu dans tout le corps, nous jouissons ensemble, moi déjà trempée, lui m'arrosant de grandes giclées de sperme chaud. C'était un 69 que nous n'avons jamais oublié, de par son intensité finale, occupés l'un de l'autre, et ayant ressenti une jouissance inouie.