LE FILM X

Un soir une amie proche vint me rendre visite, et pour nous distraire apres le repas, nous avons regardé un film style "classé X", au début sous le prétexte de nous amuser, mais cela nous a fait un effet excitant que nous n'osions pas nous avouer l'une à l'autre, essayant de plaisanter a propos de l'absence totale de scénario, de vrais dialogues, nous moquant des actrices et des acteurs quelque peu "robotisés", n'essayant pas de jouer mais cherchant la performance... C'était par moments parfaitement ridicule, et même souvent laid à voir, avec ces images de pénétrations d'une durée insensée, en gros plan, de double pénétration (aie aie aie les pauvres actrices), sans parler des "dialogues" et des bruitages.

Cela, malgré la beauté des actrices, ce qui n'est pas souvent le cas. Plusieurs scènes passèrent, nous donnant parfois le fou-rire, d'autres nous laissant totalement de glace.

Mais d'un coup, la scène changea, mettant en scène deux filles, se caressant, se donnant du plaisir l'une l'autre, avec beaucoup de douceur et de vigueur en même temps. Les gestes et les caresses, les déshabillages étaient - pour une fois - franchement érotiques, et je me mis à rougir (du moins je me sentis le feu aux joues, et pas que là..) et j'évitai de regarder vers ma copine. Il y eut plusieurs minutes de silence entre nous, une sorte de "gêne" de mon côté tout en me sentant hypnotisée et excitée, je pense vraiment pour la première fois, devant un fim dit " de cul".

De plus en plus rougissante, je me taisais, soudain ma copine lâcha une sorte de petit gémissement, et je sentis sa tête s'appuyer contre mon épaule, comme si elle cherchait du réconfort, un appui, je ne sais pas, je paniquais. "Moi, là, ça m'excite" me souffla t'elle dans l'oreille.

Je n'étais donc pas la seule.. Je lui jetai un regard, je vis qu'elle devait me regarder depuis un moment et avoir vu mon trouble.

Sur l'écran de la télé, deux filles à peine échevelées se léchaient mutuellement, avec force gémissements; sur mon canapé ma propre culotte commençait à s'humidifier fortement, et je regrettai de ne pas être seule pour me masturber..

 

A ce moment là, ma copine se lova contre moi, remontant ses jambes sous elle sur le canapé, et posa doucement une main légère sur ma poitrine. Je sursautai, mais le trouble régnant déjà, je me laissai caresser les seins par dessus mon chemisier, puis fermai les yeux, lorsque je sentis que les doigts agiles le déboutonnaient, et s'insinuaient dans mon soutien-gorge. Je me laissai faire, tout en sentant mon corps réagir, les pointes de mes seins durcir sous les caresses et les pincements délicieux, et lorsque sa main fit sortir mes seins de leur prison de dentelle, je n'eus pas le temps de me poser des questions, car ma copine se pencha sur moi pour me sucer un mamelon, en caressant l'autre mamelon. Je me surpris à; moi aussi, laisser échapper un petit cri de plaisir. Sa main descendit, pendant qu'elle me suçait un sein, tirant sur la pointe et la léchant, comme s'il s'était agi en quelque sorte d'un pénis miniature, m'arrachant des soupirs, et glissa sous la ceinture de mon short, qu'elle déboutonna a toute vitesse, m'en débarassant.. je me soulevai pour l'aider, presque inconsciemment.

 

Elle glissa sa main entre mes jambes, j'étais trempée, et mes gémissements répondaient aux siens et a ceux qu'on entendait à la télévision, où les deux filles continuaient a se donner du plaisir. Nous y jetions un oeil de temps à autre.. Pour ne pas être en reste, brûlante moi aussi d'envie, je deshabillai mon amie, qui n'avait déja pas grand chose sur elle, et pendant qu'elle me masturbait le clitoris, je titillai la pointe de ses seins.

Nous nous trouvâmes bientôt quasi nues, et cherchions à nous donner le maximum de plaisir, nous frottant l'une contre l'autre, nous lêchant, nous suçant, debout, couchées, roulant sur le tapis, prises d'un désir si fort, encouragées par les cris de jouissance provenant de la télévision.

C'était tellement bon, tellement surprenant, tellement excitant, que nous n'entendîment pas l'arrivée de mon amant, nous n'avions fait attention ni a l'heure ni au bruit, ne pensant qu'à notre plaisir.

Mon amant, attiré par les gémissements et les cris provenant du film pornographique, pensait me trouver je suppose, en train de me masturber en cachette, excitée par le film.

Il resta coi, dans l'embrasure de la porte, littéralement le souffle coupé par ce qu'il voyait, non sur l'écran de la télé, mais sur le tapis, où ma copine et moi, ayant joui intensément de nos caresses mutuelles, reprenions notre souffle l'une contre l'autre, jambes et bras entremêlés, cheveux mélangés, haletantes.

Il s'approcha quand je l'aperçus et lui fis signe, et le voyant excité par le spectacle, je me mis à le caresser, lui otant son pantalon et son boxer, nous nous embrassions, à côté de ma copine qui regardait le spectacle d'un air intéressé. J'étais encore trempée, et son arrivée réveilla le feu qui couvait encore au fond de moi. Je le couchai par terre, grimpai sur lui et, tenant sa queue entre mes main, me branlai le clitoris avec son gland, ce qui le fit bander encore plus fort. Gémissant d'envie de le sentir au fond de lui, j'hésitais entre continuer à le branler ou a m'empaler sur lui. c'est ma copine qui décida, s'avançant, et d'une main elle écarta au maximum les lèvres de ma chatte, de l'autre main elle attrappa le sexe de mon amant qu'elle introduisit en moi, et me regarda m'empaler, d'un air d'envie.

Au bout de quelques minutes, mon amant tendit la main vers elle, et elle s'approcha. Je me soulevai, et dans un petit bruit de succion délogeai en même temps la queue trempée de mouille de mon amant, me penchai sur lui, la suçai, elle etait dure comme une barre de fer.

Je tendis la main vers mon amie afin qu'elle s'approche, lui plaçai les jambes de part et d'autre de mon amant, la fis s'accroupir, et tout en lui massant le clitoris, je pris la queue dressée et l'enfonçai dans la chatte de mon amie. Elle poussa un feulement de bête, et s'enfonça d'un coup, jusqu'à la garde, tant sa chatte était mouillée. J'étais comme folle de désir, moi aussi, et je m'installai au dessus du visage de mon amant, à genoux, jambes écartées, chatte ouverte, installai un coussin sous la tête de mon mec pour qu'il soit "à la bonne hauteur" et il se mit à me lêcher de toutes ses forces, mon clito et ma chatte, enfonçant sa langue à l'intérieur au même rythme qu'il donnait des coups de butoir à ma copine, qui se tenait face à moi, nous nous caressions les seins, nous appuyant l'une contre l'autre, sentant la même montée du plaisir, et elle se mit à jouir en gémissant, je jouis également, en hurlant, et nous sommes écroulées toutes les deux, à côté de mon mec.

Il se releva, me mit à plat ventre, et me prit en levrette, m'enfonçant sa queue d'un grand coup.

De sa queue dure il me poignardait de toutes ses forces, tirant sur mes cheveux, me tenant les hanches, me triturant le clito, allant de plus en plus fort.

Il m'enfonçait son sexe au plus profond, comme j'aime, je le sentais buter tout au fond de mon vagin, et je jouis encore une fois, hurlante, transpirante, échevelée.

Il se retira, me releva à demi, me maintenant à genoux devant lui, me commandant d'ouvrir la bouche. Ma copine, se sentant comblée, se rhabillait mais nous avions oublié jusqu'à sa présence.

Mon amant se branla devant moi, pas très longtemps car il etait au bord de jouir.

Il s'appuyait sur ma tête, et son sexe butait contre mes lêvres, ma langue, et je le lechais a chaque fois que j'atteignais son gland.

Soudain il gémit plus fort, et avec des a-coups son sperme jaillit dans ma bouche, sur mon visage, tombant sur mes seins, m'arrosant de giclées chaudes.

Mon amie quitta la maison en me faisant un petit signe, nous laissant à deux, serrés l'un contre l'autre, trempés.