ENTRETIEN D' EMBAUCHE

J'étais étudiante et je cherchais un travail à mi-temps, car je voulais gagner un peu d'argent de poche pour mes loisirs, et surtout mes virées "shopping" avec mes amies, ce qui commençait a devenir cher. Mes études d'art ne me prenaient pas trop de temps, et j'avais fait quelques stages dans l'entreprise de mon père qui me permettaient de présenter quelques références, et qui m'avaient familiarisée avec les bases du secretariat d'accueil. Je venais justement de repérer une annonce d'un architecte demandant une secrétaire pour assurer l'accueil téléphonique et le courrier courant quelques heures par semaines.

Je me pris rendez-vous, et me présentai quelques jours plus tard chez l'architecte. Dans la salle d'attente, quelques autres jeunes filles attendaient. Nous avons eu le temps de bavarder un peu et j'appris qu'il ne cessait de renvoyer ses secrétaires: la derniere en date passait, paraît-il, tout son temps au téléphone avec ses amies du monde entier... pas tres professionnel en effet, me dis-je!

Les candidates furent appelées une par une, sortant au bout de quelques minutes, accompagnées d'un "on vous préviendra".. Je n'avais pas vu la personne qui passait les entretiens, mais je ne tardai pas à la découvrir: il s'agissait d'une jeune femme un peu brouillon, qui ne cessait de faire tomber ses papiers, de se coincer la jupe dans les tiroirs des casiers, qui s'excusait sans cesse, rougissait.. Elle jeta un coup d'oeil sur mon CV et , voyant où j'avais travaillé, fut tout de suite enchantée: elle avait travaillé aussi dans l'entreprise de mon père, et elle regrettait de l'avoir quittée. Lorsque je lui demandai pourquoi, elle se mit à rougir de plus belle, et ne répondit pas. La pressant de questions, elle finit par me dire qu'elle était tres timide, et que de plus le "patron" ici lui demandait d'être en jupe pour avoir l'air "correct et féminin" pour ses clients, et elle se sentait mal à l'aise. Je lui répondis que moi, les jupes, j'aimais en porter, j'aimais le contact du tissu sur mon corps, que j'étais à l'aise habillée ainsi. Elle sourit, et me racompagna avec la formule d'usage: "On vous rappellera".

C'était vrai que j'adorais porter des jupes, même mini, j'adorais les dessous, les bas et les porte jarretelles, les talons hauts, mais quand on est étudiante aux Beaux Arts, ce n'est pas vraiment une tenue adéquate, je m'habillais ainsi pour mes soirées, ou les jours ou je voyais mes amis, mes amies, mes amants lorsque j'en avais. Sentir leur regard sur moi, sur mes jambes, sur mes fesses, sur mon décolleté me plaisait beaucoup, me procurant un plaisir que je pensais coupable et malsain au début..

Mais un de mes amants, celui dont je garde le meilleur souvenir, adorait me voir comme cela, m'habiller très fémininement aussi bien dessus que dessous, détestait mes éternels "jeans-tshirts-baskets", et m'apprit, de plus que si j'aimais porter ces vetements affriolants, c'était encore mieux!

Je ne me privais donc pas pour dévaliser les boutiques de lingerie fine, et si je portais des robes d'aspect assez neutre, j'en possédais d'autres bien plus sexy.... il aime beaucoup, car nous nous voyons encore!

Nous passons notre temps à expérimenter toutes sortes de tenues excitantes, j'essaye de le surprendre à chacune de nos rencontres avec des "petites choses", comme les appelle la propriétaire de ma boutique de lingerie préférée: bas résille, collants et slips fendus, strings de toutes sortes, guêpieres qui resserrent la taille, font saillir les seins comme un bustier, et bomber les fesses, jarretelles pour retenir des bas de soie, et quand nous nous retrouvons, avant d'etre arrivés chez lui, dès que nous sommes dans la voiture, en route, sa main glisse sous ma robe, cherchant le contact des bas, tâtant la matière, remontant pour arriver à la bande de peau nue, cherchant à toucher le string, le slip, et quelquefois la fente cachée permettant à ses doigts de remonter jusqu'à ma chatte. Et souvent, il arrive qu'il me fasse jouir tout en roulant jusqu'à son appartement, en me caressant le clitoris, et moi, de peur de lui faire perdre le contrôle de la voiture, je n'ose pas un geste vers lui, je me contente de mouiller, et.... de jouir plus fort que jamais, sur ses doigts.

 

Je fus rappelée le lendemain par la secrétaire qui m'avait reçue pour le premier contact d'embauche, me demandant de passer dans l'apres midi afin de rencontrer son patron. Peut être allais-je décrocher ce travail, qui me permettrait de dépenser un peu plus en futilités! Je décidai de m'habiller très "sexy", afin de voir ce que cela donnerait, après avoir vu l'attitude de la dame que j'avais rencontrée.. C'était un peu un défi, une provocation pour moi, j'avais quand même prévenu des amis qui m'attendaient dans un café pas très loin, restons prudente, tout de meme!

La secrétaire me fit rentrer dans un bureau très confortable, elle sourit en voyant ma tenue. Je m'assis sur une chaise en face du grand bureau, et me mis à attendre.

Un bruit me fit me retourner, un homme rentra, laissant la porte de communication ouverte, ce qui me rassura. Il me contempla d'un air approbateur, nous commençâmes à discuter du travail à faire, du salaire, et il me dit qu'il approuvait ma tenue, qui, me dit-il "plairait aux clients". Je commençais le lendemain apres midi.

J'avais pu rassurer mes amis, l'homme avait l'air correct, le salaire également, il ne m'avait pas "sauté dessus". J'arrivai donc le lendemain à l'heure prévue, et l'on me donna du classement à faire dans le bureau privé du "patron", l'homme qui m'avait reçue la veille. Je me mis au travail, c'était simple, pas trop ennuyeux pour une première après-midi, et je pouvais me familiariser avec le genre de dossiers qu'il traitait.

Seulement, au moment ou j'étais penchée sur un tiroir pour y ranger un dossier, je sentis que ma jupe se relevait, qu'il baissait ma culotte de soie, ceci en une fraction de seconde, et il se mit à me prendre les fesses à pleines mains en se frottant contre moi. Je me retournai, pris mon air le plus "outré" possible, lui mis une claque, me rajustai, et lui demandai des explications. Il me répondit qu'il s'excusait, qu'il pensait qu'il me plaisait, il me supplia d'oublier, de lui pardonner, et il me laissa seule et tranquille jusqu'à la fin de la journée, me demandant de continuer de travailler pour lui, qu'il ne recommencerait pas. J'étais en colère, surprise, mais je n'avais pas eu peur. C'était un homme séduisant, il m'aurait "draguée" en dehors du travail, peut-être, mais là.. j'allais me venger! J'exigeais plus de formalités, tout de même, meme si l'homme me plaisait! Et je ne voulais pas d'un viol, d'un harcèlement, si je voulais une aventure, elle devait être librement consentie par les deux partenaires, et en l'occurence, j'aimais choisir.

Je décidai de venir le lendemain dans une tenue très sage, mais cachant bien mon jeu. J'allais le surprendre, à mon tour! Après tout, je pouvais bien ne pas garder ce travail, j'en trouverais bien un autre si j'étais renvoyée, mais finalement cela m'avait amusée, excitée, même. Bon, cet homme m'avait touché les fesses. Bon, cet homme l'avait fait dans le cadre du travail. Bon, nous ne nous connaissions pas du tout, je savais juste qu'il était architecte, célibataire, beau mec, et qu'il était du genre impulsif. Je m'étais prise au jeu en m'habillant sexy dès le début, j'avoue que ça m'excitait, pour la première fois j'allais vivre un de mes fantasmes........

J'arrivai sur mon lieu de travail avec un large manteau, et je rentrai ainsi dans le bureau où je devais continuer mon classement sous les yeux de l'homme qui m'avait touchée la veille, mais j'étais cette fois maîtresse du jeu. Il me dit bonjour, fit semblant de replonger dans ses papiers, me regarda de nouveau, rougissant un peu, l'air embarassé. Il me demanda si je ne voulais pas ôter mon manteau, parce qu'il faisait chaud. Il promettait de ne pas me toucher, il ne fallait pas que j'aie peur! Il me dit qu'il ne voulait pas d'ennuis, que ça ne se reproduirait plus. C'est alors que j'ouvris mon manteau et le laissai glisser par terre...

Le moins qu'on puisse dire est que dessous, ma tenue était plus que légère.. Je m'amusai extrêmement de l'expression du visage de l'homme, qui dessera sa cravate, ne sachant visiblement que penser.

Je m'approchai de lui, passai derrière lui, lui effleurant les épaules. Il avait les yeux exhorbités, il ne savait pas quoi faire, Je voyais qu'il etait très excité, mais qu'il ne savait pas s'il pouvait me toucher ou non, puisqu'il venait de dire qu'il ne le ferait pas. Je m'assis dans un fauteuil face à lui, faisant bomber ma poitrine, très consciente du pouvoir que j'avais, moi, sur lui.

Je m'approchai de lui de nouveau, m'assis sur le bord du bureau, jambes légèrement écartées, et du bout du pied débarassé de mon escarpin, je touchai son entrejambe. Il bandait. Ca, je l'aurais deviné! Je passai lentement mon pied couvert de mon bas sur son sexe, le massant doucement, et il se mit à haleter, les bras toujours ballants.

Soudain je bondis sur mes pieds, sans lui laisser le temps de reprendre son souffle, remis ma chaussure, bouclai mon manteau, repris mes affaires et partis. J'étais fière de moi, amusée, mais très excitée.

C'est alors que je sautai dans ma voiture sans trop réfléchir, et filai chez mon homme du moment, qui était au courant de toute l'histoire. Il rentrait du travail juste au moment où j'arrivai. Je lui racontai en détails la fin de l'histoire, lui disant que je ne remettrais de toutes façons pas les pieds chez cet homme.. Amusé par mon excitation, il s'est installé à son bureau, et m'a fait signe de venir s'assoir au bord. Nous avons "rejoué" la scene de cet après-midi, sauf que nous ne nous sommes pas arrêtés comme je l'avais fait.. m'installant juste devant lui, je me trouvais pratiquement à la bonne hauteur pour passer mes jambes sur ses épaules pour qu'il me lèche, et je jouis à grands cris.

Je massai également son sexe a travers son pantalon, mais il se leva de son siège, le repoussa, je le dégrafai, et sortis sa queue avec précaution tant elle était dure. Je m'approchai plus près du bord du bureau, et je fis glisser son gland tout autour de mon sexe, sur mon clitoris, me branlant avec le bout tout doux de sa queue. Ma chatte était trempée, et je ne pus me retenir de lui dire "Enfonce-la moi!" Il n'attendait que cela, rentra doucement, puis fort, puis m'allongeant sur le bureau, s'enfonça tout entier en moi, jusqu'à buter tout au fond de moi. Je pris mon plaisir une fois, deux fois, trois fois, et lui se retenait.

Lorsqu'il s'est senti près de jouir, il sortit son sexe de moi, et fit ce que j'adorais : il jouit sur ma chatte, les jets chauds venant sur moi, jusqu'à ce qu'il crie et retombe presque sur moi.

Nous nous sommes vite jetés sur son lit, et endormis pour une sieste réparatrice, l'un contre l'autre, moi le nez dans ses cheveux.