BAL COSTUME |
![]() |
Un soir, des amis, enfin plutôt des connaissances, avaient décidé d'organiser un bal masqué pour l'anniversaire d'un ami commun. C'était une bonne idée, ça faisait longtemps que je ne m'étais pas déguisée, et j'avais bien l'intention de faire sensation dans un costume époustouflant. Mon copain devait me retrouver là bas, donc j'allais lui faire la surprise. Lui, les bals masqués, ce n'était "pas son truc", à ce qu'il m'avait dit. Je pouvais m'attendre à ce qu'il soit le seul à n'être pas déguisé..Mais tant pis, moi j'étais partante. J'ai choisi une tenue qui me faisait envie chez le loueur de costumes, depuis un moment, mais allez donc vous promener comme ça dans la vie, ou dans une soirée normale, non, impossible! J'étais assez fière de mon coup, mais je doutais un peu du fait que ce soit un peu "osé" tout de même. J'enfilai un manteau bien ample pour aller jusqu'à l'endroit de la fête. |
![]() |
![]() |
J'avais enfilé une robe très "marquise", avec en haut un bustier dégageant énormément le décolleté, et tres resserré à la taille, et il s'en fallait de peu que mes seins sortent de leur logement de satin. Mais bon, j'étais décidée à faire mon petit effet. Effet que je fis effectivement, mais je découvris également des amies fort "découvertes", certaines donnant dans le style latex-sexy, une autre en infirmière inspirée de la celebre pin-up Betty Page, d'autres en chevaliers, androgynes...
Les hommes, quant à eux, etaient surtout masqués d'un loup, certains avaient également opté pour le style latex-SM, d'autres ne portaient que le masque (obligatoire, dit la maîtresse de maison, pour les non-déguisés)° pour lesquels elle avait prévu un lot de loups en satin, et une pièce avec des déguisements..
|
|
![]() |
Il y avait un buffet, des tables et des banquettes dissimulées çà et là, un éclairage tamisé, une décoration baroque, et de la musique pour tous les goûts, au début douce et discrète, mais se faisant plus marquante lorsque visiblement certains voulurent danser. Je n'étais pas la dernière à "m'éclater" sur la piste de danse, mon cavalier ne me semblait pas arriver.. Je ne m'inquiétai pas, le sachant habitué aux retards, surtout pour les 'soirées". Des couples commencèrent à s'enlacer sur la piste de danse, moi je retenais à grand-peine ma poitrine qui ne faisait que s'échapper de mon bustier, à croire que le créateur du costume l'avait fait exprès, mais je ne croisais que des regards amusés, et même intéressés!! Certains couples frôlaient l'exhibitionnisme, aidés par les cocktails, je supposais, ou étaient -ils habitués à ce comportement en société? D'autres invités arrivaient toujours, je m'assis à une table, sur une banquette à l'écart, picorant quelques bouchées et sirotant un verre dans lequel, malgré ma demande, il me semblait sentir un petit arrière-goût alcoolisé.. |
Je regardais autour de moi, et il me sembla voir dans l'ombre des alcôves, des couples un peu plus "enlacés" que sur la piste de danse. Il yavait des couples qui s'embrassaient, et qui se caressaient. Un peu gênée, je détournai le regard, et me concentrai sur les danseurs. J'avais envie d'aller de nouveau les rejoindre, troublée par le spectacle que j'avais entrevu, non loin de moi. Je repartis sur la piste de danse, toujours pas trace de mon copain... Je fendis la foule des personnes costumées, reconnaissant par ci par là des amis, et me remis à danser, sans autre idée que de m'amuser, puisque , après tout, nous étions là pour ça. Mon amie Véro, accompagnée de son mari Jean, me firent signe de les rejoindre. Dans son genre, Véro n'était pas beaucoup plus habillée que moi, mais tendance latex/sm. Son mari adorait ça. D'ailleurs d'autres personnes dansaient très près de nous, attirés par notre duo, que dis-je notre trio, car Jean en Louis XIV faisait son petit effet, en collants, également!! La musique se faisait plus envoûtante, plus prenante, je me laissais aller à son rythme, sans m'occuper des autres.. le temps passait, ma tête tournait un peu. Véro s'en apperçut et m'entraîna, avec son mari, vers les banquettes, pour se reposer un peu. Je me laissai tomber dans les coussins, Véro s'écroula à côté de Jean, dans un grand fauteuil profond en face de moi. Ellle se mit à l'embrasser goulûment, il lui rendit ses baisers. Je devais avoir l'air envieuse, car elle quitta son mari, fit le tour de la petite table et s'assit à côté de moi , me demandant où etait mon ami.
|
![]() |
Je répondis que je n'en savais rien, qu'il devait nous rejoindre, c'est tout. Je me laissai aller contre les coussins, les yeux mi-clos. Jean s'était rapproché de Véro, et à côté d'elle la caressait. Dans la pénombre où nous étions, les danseurs ne pouvaient pas les voir, mais je voyais parfaitement la main de Jean plongeant dans le décolleté de mon amie, et la main de celle-ci s'insinuant dans les hauts- de -chausses de son mari, au niveau de la bosse qui se formait sous le collant. Bientôt je vis avec étonnement puis amusement Jean se glisser sous la table, et écartant les jambes de Véro qui se trouva presque allongée, commencer à lêcher son entrejambe. J'essayai de détourner le regard, excitée encore malgré moi. |
Je sursautai, car en face de moi, assis sur le fauteuil délaissé par Jean et Véro, se tenait un homme, masqué, déguisé en moine, ou en curé, je ne pouvais pas voir tellement il faisait sombre. Je voyais seulement briller ses yeux à la lueur de la petite bougie posée sur la table, à travers son masque. Il tenait un verre dans la main, et buvait lentement, en me regardant fixement. Etourdie par l'alcool que j'avais du consommer, je le fixai moi aussi, et le vis regarder longuement le couple que formaient Jean et Véro, fort affairés, à ce que j'entendais. Le regard revint sur moi, je ne pouvais voir son visage. Soudain il tendit la main à travers la table, touchant mes seins qui avaient jailli de mon bustier. Je me sentis rougir, et me rajustai. L'homme écarta mes mains, et attrappa l'un de mes seins qu'il se mit à malaxer, en tordant doucement la pointe. Je retins un cri, ma bouche s'ouvrit, il enfonça un de ses doigts entre mes lêvres. J'étais dans un état d'excitation indescriptible, et je me surpris à sucer ce doigt, à le lêcher. Je sentis un pied s'insinuer entre mes jupons, remonter le long de mes bas, et s'installer entre mes jambes. A travers sa chaussette, il devait sentir la chaleur de mon corps, et même le fait que j'étais mouillée. J'avais envie que son pied me pénètre partout, me presse les seins, qu'il avait lâchés, j'était prête à le suivre partout. Il dut le sentir car il me prit par la main, et m'entraîna vers une petite pièce à l'étage, une salle de bains, me sembla t'il. Il verrouilla la porte derrière nous. Il n'avait pas ôté son masque ni son déguisement, et se contenta de me faire signe de me débarrasser de mes jupons. |
![]() |
![]() |
Il me fit signe de me pencher, de plus en plus, et il me touchait à peine. Je me penchai de telle façon de le voir, et le vis qui se débarassait de sa cape, qu'il ouvrait la ceinture de son pantalon et au moment précis où j'aperçus sa queue, jaillissant presque de ses sous-vêtements, il se colla contre moi, je sentis la fraîcheur de ses vêtements contre ma peau brûlante, en contraste aussi avec le contact de sa queue contre mes fesses. Il attrappa son sexe, et le promena entre mes jambes, et d'un bras me redressa, pour que je prenne appui contre le mur. Au passage il me caressa les seins, et , me mordillant le dos et le cou, écarta de ses mains ma chatte trempée, pour y glisser en longueur sa queue, lui faisant faire des allers retours le long de mon entre-jambe. Il glissa ensuite une main par devant mon bassin, et entreprit de me branler le clitoris, qui etait déja prêt à éclater, tellement il etait tendu d'excitation. Je ne retenais pas mes gémissements...Puis, mouillant comme une fontaine, j'eus envie de le supplier de me prendre, mais il comprit, et m'empala d'un grand coup de queue jusqu'au fond de ma chatte. Il me pénétra pendant longtemps, doucement, puissemment, fortement, puis plus vite, et je me mis à hurler, de plaisir, un tonnerre de feu grondait dans mon ventre, et mon clitoris masturbé par sa main, et mon vagin envahi, se transformèrent en boule de feu, et je jouis, mon ventre faisant de grands spasmes intérieurs. L'inconnu se mit alors à aller plus vite, puis se retira, sa main lâchant mon clitoris, et se reculant un peu, posant une main sur mes fesses en les écartant et en me baissant de nouveau, se mit a jouir à longs jets en gémissant, en envoyant son sperme sur mes fesses et sur ma chatte échauffée. Je reconnus la voix que je n'avais pas entendue depuis le début de la soirée.. c'était celle de mon amant!!! Je me retournai, me jetai dans ses bras , il ôta son masque, c'était lui!! Nous nous sommes essuyés l'un l'autre, nous nous sommes rajustés, et avons rejoint nos amis Véro et Jean, qui étaient échevelés et haletants... Comme nous, j'imagine!! |
![]() |
![]() |